lundi 30 juin 2008

Arriver au Pérou (par Jean-Luc)

Après +_ 18 h de voyage, et le passage très contrôlé des douanes à Atlanta (il nous faut enlever nos chaussures, empreintes digitales...), c'est enfin arrivée ce vendredi 27 juin à Lima. Sebbe est au rdv avec sa familiarité de l'espagnol, deux taxis et une adresse d' auberge. Traversée nocturne (feux rouges facultatifs) des rues de Lima qui paraissent parfois quelque peu sinistres. Mais l' auberge espana au style baroque et roccoco a du charme avec sa cour intérieure, son petit café sur le toit et sa vue sur la ville et la cathédrale de Lima.


Samedi matin, on traverse à nouveau Lima sous le smog (beaucoup de policiers peut-être en prévision de la grève générale qui semble se préparer au Pérou). Départ en bus pour Caraz. Léger surplus de bagages à régler. Banlieue de Lima très pauvre avec ses bidonvilles accrochés aux collines. Ensuite le long de la côte, à travers d' impressionnantes pentes de sable très abruptes et des paysages désertiques et arides, toujours sous un ciel gris. Puis, c'est parti pour la montée en altitude par route en lacets dans des paysages plus verts et apparition du soleil. Un vieil homme péruvien bien sympathique nous offre des mandarines et nous fait les commentaires sur son pays. Passage d'un col vers 4100 mètres. Et tout près du col, un terrain de football à oxygène rare. Descente sur Huaraz et Caraz : on aperçoit assez bien les sommets de la Cordillère blanche et on essaie de repérer entre autres ceux que l'on va tenter de gravir. Après avoir goûté au délicieux Pisco sour et aux bières péruviennes (avis plus partagés), on retrouve le chemin de l'auberge Caballero.



Ensuite le long de la côte, à travers d' impressionnantes pentes de sable très abruptes et des paysages désertiques et arides, toujours sous un ciel gris. Puis, c'est parti pour la montée en altitude par route en lacets dans des paysages plus verts et apparition du soleil. Un vieil homme péruvien bien sympathique nous offre des mandarines et nous fait les commentaires sur son pays.



Passage d'un col vers 4100 mètres. Et tout près du col, un terrain de football à oxygène rare. Descente sur Huaraz et Caraz : on aperçoit assez bien les sommets de la Cordillère blanche et on essaie de repérer entre autres ceux que l'on va tenter de gravir. Après avoir goûté au délicieux Pisco sour et aux bières péruviennes (avis plus partagés), on retrouve le chemin de l'auberge Caballero.

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